À Soulgé-sur-Ouette, on aime le sport

Le lundi 3 juin 2024, les élèves de la classe de CM, de Soulgé-sur- Ouette, participeront à l’action « À vélo vers les Jeux », ils parcourront 10 km pour emmener leur fanion rouge à l’école de Vaiges.

Dans cette commune mayennaise, située entre Laval et Le Mans, les élèves aiment le sport. Leur lieu préféré c’est le City Park, situé juste derrière leur école. Les enfants peuvent y faire du football, du basketball, se défouler avec leurs amis et rencontrer d’autres personnes. En plus, il est à côté de la toile d’araignée pour y grimper.

Soulgé-sur-Ouette possède plusieurs infrastructures sportives comme : le stade et la salle multisports. Cette dernière située à un kilomètre de l’école, à côté du stade de football, est utilisée régulièrement par l’école.

Une fois par semaine, les élèves font du hockey, ils ont déjà fait aussi du badminton, du basketball, de l’ultimate …

Cette salle est aussi utilisée par les différents clubs de sports : le football quand il pleut, le basketball tous les mardis et mercredis, le viet vo dao,

Les élèves de CM1/CM2 de l’école de Soulgé

Bais : son beau château, son panorama et sa championne

Les élèves de cours élémentaire de l’école publique de Bais vous expliquent pourquoi leur commune vaut le détour.

Le Montaigu

Situé à Hambers, à 2 km de Bais en Mayenne se dresse le Montaigu, une belle colline de 290 m d’altitude. Au sommet, on peut profiter d’une très belle vue panoramique (on peut voir très loin) sur les plaines au sud et à l’ouest et des collines (dont celles des Coëvrons) dans les autres directions.

Le site était déjà très apprécié au Moyen Âge et était très emprunté par les pèlerins qui allaient au Mont-Saint-Michel.

Tout en haut se trouve une chapelle que l’on peut même voir depuis la Normandie, Angers ou Vitré.

Aujourd’hui on peut trouver au Montaigu une centaine d’espèces végétales et animales qu’il faut protéger.

Le château de Montesson

Sur la route d’Hambers, à la sortie de Bais, on peut apercevoir un magnifique château.

Il a été construit entre le 14e et le 17e siècle et est entouré de douves. Le toit du pavillon d’entrée du château est remarquable car il est rond, en forme de bulbe. Sur la tour, le toit est également arrondi.

Sur la façade en granit, sont gravées les armes de la famille Montesson.

Ce château est privé mais les jardins peuvent être visités pendant les journées du patrimoine.

Manuela Montebrun une ancienne élève de Bais

Naissance : 13 novembre 1979 à Laval

Sport : lancer de marteau

Manuela Montebrun a habité à Bais. C’est au Collège de Bais qu’elle a découvert le lancer de marteau.

Elle a participé à plusieurs compétitions où elle a remporté des médailles. Aux Jeux olympiques de Pékin, elle gagne la médaille de bronze parce que deux sportives devant elle avaient triché.

Pour les Jeux olympiques de Paris, elle sera la capitaine du relais du parcours de la flamme dans notre département. Classe de GS-CP

Les élèves des classes de Gs/Cp et Ce1/Ce2 de l’école publique de Bais

Yohan Chevillard : l’entraineur de foot de Javron

Pour cette carte postale de notre commune, Javron-les-Chapelles, nous avons choisi de vous présenter un sportif investi dans la vie associative locale : Yohan Chevillard.

Yohan Chevillard joue au football comme senior et entraine les jeunes au FC de l’Aisne. Il est également trésorier du club.

Le FC de l’Aisne est le club de trois communes du nord de la Mayenne : Le Ham, Neuilly-le-Vendin et Javron-les-Chapelles. L’Aisne est une rivière qui traverse ces trois communes.

Ce n’est pas toujours facile d’être entraineur des jeunes : il faut gérer les enfants, et même parfois les parents. Il peut lui arriver d’être fatigué, physiquement et aussi moralement.

Yohan a commencé le football à six ans. Quand il était plus jeune, il a également pratiqué le judo. Aujourd’hui, il aime faire du footing et des randonnées en VTT (Vélo Tout Terrain) sur les chemins et les voies vertes. Nous lui avons posé la question, mais il ne sait plus à quel âge il a su faire du vélo sans roulettes !

Les CM1 de l’école Yves Duteil

Lassay-les-Châteaux : le couvent des Bénédictines

Jeudi 22 février 2024, dans la classe de CE2/CM1 de l’école des 3 châteaux, Angélique Gallier, responsable de l’office du tourisme sur la commune, est venue répondre à des questions sur le couvent des Bénédictines.

Lassay-les-Châteaux est une petite cité de caractère mayennaise et a fini 3ème l’an passé au concours du village préféré des français. La commune possède un patrimoine riche et remarquable : trois châteaux, une roseraie, plusieurs chapelles et églises remarquables et un ancien couvent dans lequel est installé aujourd’hui l’école et la médiathèque.

Le couvent a été construit en 1613, à la demande des Lasséens, par Jeanne de la Crossonière qui était la sœur principale. Ce lieu n’était pas pour les garçons mais pour les filles, pour pouvoir les éduquer religieusement.

Le couvent est toujours disposé en U. Il n’y a pas que la partie école, il y a aussi la médiathèque où Françoise et Pascal travaillent. Il y a aussi la partie Madiba, l’espace jeunesse.

Autrefois, c’étaient les sœurs qui enseignaient. Le couvent des Bénédictines a été fondé sur le lieu–dit de MONTAIGU. Il abritait alors une école de jeunes filles et de grandes pensionnaires enfermées par lettre de cachet. Il fut pillé à la révolution française et les religieuses rendues à la vie civile le 2 avril 1792. En 1807, la municipalité installa dans le couvent la justice de paix, l’hospice et le collège.

Soline, Yvana, Flora et Katniss, CE2/CM1 de l’école des 3 châteaux

La danse avec Lucie à Lassay-les-Châteaux

Lundi 11 mars, à 20h15, à la salle polyvalente de Lassay-les-Châteaux, Lucie Derenne termine son cours de danse moderne jazz. Elle accepte alors de nous présenter sa passion : la danse

Cela se passe tous les lundis soir après l’école. Rebeca, élève en CE2, va à la danse à 18h à côté du collège Victor Hugo à Lassay. Elle y retrouve Lucie, sa professeure de danse et ses camarades qui vont bouger sur la musique pendant 1h – 1h15.

Il y a 3 groupes de niveaux en danse. Le 1er groupe est accueilli par Lucie dès 17h. Le 2ème commence à 18h puis le 3ème enchaîne à 19h. Les cours se terminent à 20h15, un peu plus de 3h en tout pour Lucie. Elle est arrivée vers 16h50 à la salle multifonctions pour préparer les cours.

Lucie a commencé la danse à 11 ans à Mayenne, puis a stoppé avant de reprendre à 14 ans. Ensuite, elle n’a plus jamais arrêté. Elle ne pensait qu’à ça. Plus tard, elle a voulu en faire son métier. Elle a fait du hip-hop, de la danse moderne jazz et contemporaine. Elle a dû aussi se mettre à la danse classique.

Être Professeure de danse est un métier artistique et exigeant. Elle s’est dit qu’elle n’y arriverait pas mais elle a finalement réussi. Cela était presque un rêve.

Elle a fait des études classiques. Elle a passé son bac STG puis un autre diplôme en études supérieures. Elle s’est inscrite ensuite dans une école de préparation pour être professeure de danse. Il faut avoir un EAT : examen d’aptitudes techniques. Elle est partie à Nantes pour obtenir son diplôme d’état.

A la question : « La danse a-t-elle sa place aux JO ? » Mme Derenne répond que c’est à la fois un sport et de l’art et que la question de la présence du hip-hop comme épreuve à Paris avait toute sa place.

Après quelques années, elle aime toujours autant son métier, même si elle n’exerce plus à temps plein. Il faut trouver du temps après l’école, les horaires sont décalés. Sa vie personnelle et familiale a fait que c’est compliqué qu’elle soit présente tous les soirs.

Si vous avez envie de vous libérer, de bouger sur de la musique, venez découvrir les cours de danse du conservatoire de Mayenne avec Lucie.

Clara, Madison, Rebeca en CE2/CM1 à l’école des 3 châteaux

L’Huisserie, vous connaissez ?

Non ? Séance de rattrapage avec les élèves de CM1-CM2 de l’école publique de L’Huisserie !

D’où vient peut-être le nom de la commune ?

Son nom est attesté sous la forme « Hostiara » en 1421. L’origine du toponyme est incertaine. Il pourrait s’agir de l’ancien français huisserie, « porte », peut-être dû à l’originalité de l’entrée d’une habitation.

Dans quel département se trouve-t-elle ?

L’Huisserie se trouve dans le beau département de la Mayenne (53).

Dans quelle région ?

L’Huisserie se situe dans la région des Pays de la Loire.

Quelle est sa superficie ?

Environ 15 km².

Combien a-t-elle d’habitants ?

Il y a 4 435 habitants (en 2021).

Comment les appelle-t-on ?

Les habitants s’appellent les huissériens et les huissériennes.

Fait-elle partie d’une communauté de communes ?

Oui, il s’agit de Laval Agglo (34 communes).

Est-ce que c’est une commune dynamique ?

Oui, il y a de nombreuses activités pour tout le monde : la chasse aux œufs, le festival des épouvantails, du théâtre, de la danse, de la musique avec le conservatoire.

Il y a une médiathèque, l’Interlude, et un espace culturel, l’Espace du Maine.

On peut pratiquer de nombreuses activités sportives : foot, hand-ball, badminton, danse, gymnastique rythmique, volley, équitation, basket, tennis, judo, ping-pong…

Il y a plus de 40 associations sportives et culturelles à L’Huisserie.

Quelles sont les raisons d’aimer vivre ici ?

C’est une commune calme, proche de Laval. C’est vert : il y a le bois de l’Huisserie, la rivière la Mayenne. Le Centre d’Initiation à la Nature est là pour vous faire découvrir la nature.

Les CM1/CM2 de l’école publique de L’Huisserie

Des mines à L’Huisserie

À L’Huisserie, il y a eu des mines pendant presque un siècle ! Les premières recherches ont débuté en 1823 et la période d’exploitation la plus active a été comprise entre 1860 et 1880. Les principales mines étaient situées le long de la route de la Plaine, et s’étendaient jusque sur la commune voisine de Montigné.

Le charbon extrait des mines de L’Huisserie-Montigné servait à alimenter les fours à chaux. La chaux servait d’engrais aux agriculteurs (elle était très utilisée en Mayenne).

À L’Huisserie, Il y a eu jusqu’à 200 mineurs. Après 1850, en dix ans, la population est passée de 800 à 1200 habitants. Il a fallu construire un 2ème lavoir et de nouvelles écoles (une pour les filles, l’autre pour les garçons).

Les mineurs travaillaient de 7h à 17h. Ils n’avaient qu’un jour de repos, le dimanche et parfois quelques congés non payés. Les mineurs de fond utilisaient un pique (pioche) pour creuser, les boiseurs solidifiaient les mines à l’aide de bois de chêne et de pin.

Ils vivaient dans de très mauvaises conditions d’hygiène. Ils n’avaient ni eau ni électricité. Ils mangeaient beaucoup de pain et de soupe mais très peu de viande.

À l’époque, l’école n’était pas encore obligatoire (elle le deviendra en 1882). Certains enfants suivaient leur père dans les mines : ils poussaient les chariots dans les galeries étroites et nettoyaient les chaudières.

Les mineurs pouvaient descendre jusqu’à 200 mètres de profondeur avec des échelles d’environ 5 mètres. Ils respiraient dans les galeries grâce à des cheminées qui assuraient la ventilation.

Les femmes ne travaillaient pas dans les mines contrairement au nord de la France. Elles nettoyaient les vêtements des mineurs, faisaient le ménage, la cuisine et parfois elles triaient le charbon de la terre.

Pendant le travail des mineurs, il y a parfois eu des accidents provoquant des blessés et même des morts (mais jamais à cause d’une explosion générale de la mine).

A partir de 1850, le développement du transport par trains a permis de faire venir du charbon du nord de la France à moins cher, de nouveaux engrais (chimiques) sont apparus remplaçant la chaux dans les champs : les besoins en charbon de L’Huisserie ont donc diminué…

Et à partir de 1914, beaucoup de mineurs sont partis comme soldats à la première guerre mondiale. Les mines, pas assez entretenues et n’étant plus rentables, ont fini par fermer.

Aujourd’hui, les anciennes galeries sont inaccessibles, bouchées ou écroulées…

Les CM1/CM2 de l’école publique de L’Huisserie

Dernière étape pour Nuillé-sur-Vicoin avant les JO

Le 1er juillet 2024, les élèves de CM1/CM2 de l’école Victor Hugo à Nuillé-sur-Vicoin participeront au projet « À vélo vers les Jeux ». À cette occasion, ils rejoindront les enfants d’autres écoles à l’Huisserie pour y déposer le fanion de leur établissement.

Un hippodrome réputé comme ligne de départ

L’hippodrome de la Ligonnière est unique en France car c’est le seul traversé par une rivière naturelle, le Vicoin, un des symboles de la commune dont elle porte en partie le nom. Les courses hippiques y sont très appréciées par les professionnels et les spectateurs.

Le village de Nuillé possède également un château, celui de Lancheneil, bâti en 1516, qui accueille aujourd’hui un établissement de service d’aide par le travail (Ésat).

Vous pouvez aussi y admirer l’église de type roman de la sainte Trinité ou bien vous détendre à l’espace naturel du Luget qui accueille chaque année une partie de chasse aux œufs.

Un objectif sportif et écologique

À Nuillé-sur-Vicoin, il n’y a pas encore de voies douces pour les vélos. Les élèves vont devoir s’entrainer à maitriser leurs montures et à bien respecter les règles de sécurité avant de prendre la route de Montigné-le-Brillant pour y rejoindre la voie verte puis les pistes cyclables jusqu’à la ligne d’arrivée en équipe.

Faire du vélo est un très bon sport pour la santé mentale, muscler ses jambes et travailler l’endurance. C’est aussi l’un des modes de déplacement les plus propres et apprendre à le maitriser dès le plus jeune âge est important.

Un projet départemental

Ce projet réunira les écoles de Nuillé-sur-Vicoin, Entrammes et Bonchamp-lès-Laval à l’école de l’Huisserie. Les CM1/CM2 apporteront le fanion qu’ils ont créé en classe aux couleurs des anneaux olympiques avec un logo qu’ils ont imaginé pour représenter leur établissement afin que les élèves de l’Huisserie l’emmènent à l’Espace Mayenne à Laval où il sera mis en valeur avec ceux des autres écoles du département.

Les élèves de CM1/CM2 de l’école Victor Hugo de Nuillé-sur-Vicoin

Séverine en route vers les J.O.

Le 23 février 2024, nous avons rencontré Séverine qui est une des coureuses d’Argentré mais aussi une maman d’élève. Elle s’est qualifiée au marathon amateur des Jeux Olympiques de Paris, waouhhhhhhhhh !

C’est quoi un marathon amateur des J.O.?

Le marathon amateur est une course longue de 42 km 195 m qui aura lieu le samedi 10 août 2024.

Pourquoi 42 km 195 m ?

Séverine nous a raconté qu’en Angleterre, le marathon devait s’arrêter juste devant le roi. Comme il manquait 195 m pour arriver devant sa loge, ils rallongèrent donc de 195 m la distance du marathon.

Le marathon amateur se passe à Paris : ce parcours commence à l’Hôtel de ville de Paris, traverse douze communes pour se terminer à l’Esplanade des Invalides. Séverine s’estime chanceuse de pouvoir courir dans Paris (elle pourra voir la Tour Eiffel, le bois de Boulogne, le château de Versailles, l’Arc de Triomphe, l’hippodrome de Vincennes…).

Comment s’est-elle qualifiée ?

A l’aide d’une application, elle avait 53 défis à réaliser pour se qualifier. Elle a commencé en 2020 pendant la période COVID. Elle a donc réussi toutes ces épreuves alors elle peut être sur la ligne de départ du marathon. De plus, elle s’est entraînée en faisant des courses longues comme l’Ultra-marin, le raid des Alizés…

Que mange-t-elle avant une course ?

Elle nous a expliqué qu’elle devait manger du sucre pour avoir rapidement de l’énergie. Avant une course, elle mange toujours une part de flan. C’est son « truc » à elle !

Pendant les marathons, il y a des stands de ravitaillement (sucre, fruits secs, fruits, eau, boisson énergisante…) et des éponges humides.

Portera-t-elle la flamme olympique ?

Non ! Mais Natacha Violette (présidente du club running d’Argentré) a été désignée pour porter la flamme olympique. Séverine n’est seulement que la remplaçante !

Séverine adore la devise : « Seul on va plus vite mais ensemble on va plus loin. »

Les CM1 de l’école publique d’Argentré

À vélo, notre mission : transmettre notre fanion !

Les CM1 de l’école la Marelle profiteront des chemins de l’aire de loisirs et s’entraîneront à la préparation de leur étape à bicyclette «À vélo vers les jeux». Ils pourront alors circuler sur la route le jeudi 27 juin vers l’école publique de Changé et transmettre leur fanion.

Sur la cour de l’école, nous avons tous réussi les épreuves de maniabilité et obtenu le niveau 1 du Savoir Rouler à Vélo en novembre.

Ensuite, nous passerons le deuxième niveau en roulant sur une piste routière aménagée.

Enfin, nous nous entraînerons près de notre rivière l’ Ernée qui fait la joie des randonneurs, des pêcheurs, des campeurs et des artistes. Ces roulages serviront à former des groupes de niveaux.

L’objectif est transmettre notre fanion qui sera auparavant réalisé en classe. L’inspiration nous viendra des magnifiques chemins de randonnée de notre village situés entre deux rivières l’Ernée et la Mayenne.

Auparavant, le mardi 25 juin, l’école accueillera le fanion de l’école publique « Lenny Escudéro » de La Baconnière.

Vendredi dernier, nous avons interviewé notre maire et son adjointe. Ils avaient demandé, il y a quelques années, à une artiste locale de confectionner un nouveau logo. Ils nous ont précisé que le nom de notre village remonte à l’époque romaine. Il s’appelait alors « Andoliacus », tiré de la proximité des méandres de notre rivière l’Ernée.

Passez donc découvrir notre charmant village. Faites une halte au camping et venez nombreux cet été au festival de théâtre et de musique « L’Arbre Bavard » du 2 au 4 août prochain sur le magnifique site de «L’Anjuère» au bord de la rivière : franchissez les pas japonais et vous y serez !

Les C.M.1 de l’école publique «La Marelle» d’Andouillé