Les CM de Saint-Christophe-du-Luat vont aller à vélo vers les Jeux

À Saint-Christophe-du-Luat, va se dérouler, en mai prochain, une course de vélo qui s’appelle « À vélo vers les Jeux ». Les élèves qui y participent sont les 20 CM de l’école des Petits Luatais.

Une nouvelle course va se produire

Le 31 mai 2024, les CM1-CM2 de Châlons-du-Maine amènent les fanions à l’école de Saint-Christophe-du-Luat. Les CM des Petits Luatais partiront à vélo à Vaiges le 3 juin 2024. La course de vélo va se dérouler sur 29 étapes dans toute la Mayenne.

Les CM réalisent cette course à vélo pour collecter les fanions qui représentent toutes les écoles participantes. Ils sont 2 695 élèves de 86 écoles à participer à la course.

Saint-Christophe-du-Luat, un petit village de campagne

Dans le village de Saint-Christophe-du-Luat, habitent environ 768 habitants. Châtres-la-Forêt, Evron et Montsûrs sont des villes situées à côté de Saint-Christophe-du-Luat.

Il n’y a pas beaucoup de commerces : juste une boulangerie et un salon de coiffure. A Saint-Christophe, on pratique le football au club de football. Sept associations existent dans le village.

Dans le village de Saint-Christophe-du-Luat, on a construit une église, un monument aux morts, un manoir, des fours à chaux et un moulin à vent qui a été cassé : il ne reste que les murs.

A Saint-Christophe-du-Luat, la pluie a creusé 3 ruisseaux où on peut aller pêcher. On peut aussi aller pêcher à la réserve naturelle.

L’histoire de Saint-Christophe-du-Luat

Dans le village, nous avons une nouvelle école. Avant, nous avions une ancienne école des garçons qui est aujourd’hui la salle des fêtes.

Avant le Moyen-Âge, on n’avait pas de village, c’était la forêt de la Charnie. Le premier village s’appelait Louart, il a été incendié par les Normands en 1098.

Les CE1 et CE2 de l’école de Saint-Christophe-du-Luat

Bienvenue en vacances à Gennes-Longuefuye !

Bonjour, j’ai appris que tu voulais partir en vacances ? Je peux te dire que notre commune est la meilleure ! Tu pourras même y habiter …

Gennes-Longuefuye, notre village est un petit village qui se situe dans la Mayenne, le département 53. Notre commune est habitée par 1344 habitants. Nous sommes en campagne, à dix minutes de Château-Gontier.

Tout le monde se connaît dans le village. Notre village est très vert, on y trouve beaucoup de maisons, plutôt grandes et deux grands lotissements.

Dans notre village, il y a l’église Sainte-Opportune et un city parc de 100 m de périmètre juste à côté de l’école. On a une bibliothèque, des commerces, un terrain de foot, deux petites forêts, quatre étangs, un terrain de jeu, de gentils habitants et bien plus encore …

Il y a deux écoles, privée et publique, nous sommes dans l’école publique qui a huit employés. Au printemps, la commune est fleurie de partout ! Notre maire monsieur Giraud est très gentil.

L’école publique

Et revenons à notre école, elle a été construite en 2006, elle a été rénovée pour l’isolation, elle a 4 classes, un dortoir, une bibliothèque, une cour et 5 maîtresses, Delphine, Aude, Aurélie, Mélina le mardi et Dominique.

On est 101 élèves, ce qui représente 78 familles. L’école de Gennes-Longuefuye est gratuite, elle s’appelle le Trait-d’union car Gennes-sur-Glaize et Longuefuye sont deux communes fusionnées

Avant il y avait trois écoles, une à Longuefuye, une à Gennes-sur-Glaize et une sur la route de Grez-en-Bouère.

Nous aimons beaucoup les maitresses gentilles et très accueillantes. Elles nous apprennent beaucoup de choses, et nous avons plein d’amis. C’est trop cool !

Notre belle et chère directrice est Aurélie Crouillebois et elle est très gentille. Pour nous aider, Kathleen et Caroline sont AESH, Colette et Marina sont les ATSEM. L’école du mercredi a arrêté en 2021. Nous faisons des activités en plein air car nous avons le projet école du dehors.

Interview d’un athlète professionnel de Gennes-sur-Glaize

Dylan Billy est entraîneur de l’équipe de gymnastique de Château-Gontier et son frère, Ricardo, a été champion de France. Il fait ce travail par passion, tous les deux ont commencé la gymnastique dans l’enfance et c’est une affaire de famille.

M. Billy est content de son parcours et il est fier de son frère qui a gagné une médaille à chaque compétition. Ricardo, quant à lui, a commencé à 3 ans et il voulait faire « comme les grands » mais c’était compliqué, il a commencé à aimer vraiment la gym vers 5 ans.

Comment se passe la journée d’un entraineur de gym ?

Il se lève à 7h, il travaille, il va faire du sport d’entrainement, ensuite il travaille encore et il fait l’entrainement des élèves. Il trouve que ce n’est pas difficile car il y a plusieurs façons d’apprendre.

Pour suivre son parcours, il a fait plusieurs formations fédérales et il est entraineur diplômé.

Les élèves de l’école de Gennes-Longuefuye

À Château-Gontier-sur-Mayenne, une judokate se prépare aux JO 2024

Mercredi 27 mars, dans le cadre du projet « À vélo vers les jeux », les élèves de CM1-CM2 de l’école Jacques Prévert ont rencontré la judokate Zouleiha Dabonné au nouveau dojo de Château-Gontier.

Cette commune du sud du département de la Mayenne est une ville Terre de Jeux 2024. Très sportive, elle permet de découvrir différentes activités et d’accueillir des athlètes de haut niveau comme Zouleiha Dabonné, originaire de Côte d’Ivoire.

Le dojo Clarisse Agbegnenou de Château-Gontier-sur-Mayenne : un lieu de centre de préparation aux JO.

Au programme : présentation du dojo, du drapeau olympique, des photos et des médailles remportées par la judokate Zouleiha, suivi d’un temps d’échange.

Zouleiha s’est confiée sur son parcours et ses objectifs : « J’ai commencé le judo à 15 ans. Dès l’âge de 18 ans, j’ai quitté ma famille. Je m’entraîne du lundi au samedi. Je fais beaucoup de sacrifices. À la base, j’étais timide, le judo m’a permis de m’affirmer.»

A la découverte du judo

Une chance de pouvoir fouler le tatami en présence de Zouleiha et de s’initier à la pratique du judo.

La matinée s’est terminée par une démonstration technique de l’athlète avec un combat.

La judokate ne compte plus ses médailles mais souhaiterait vivement remporter une médaille olympique aux Jeux de Paris.

Les CM1/CM2 de l’école Jacques Prévert

À Soulgé-sur-Ouette, on aime le sport

Le lundi 3 juin 2024, les élèves de la classe de CM, de Soulgé-sur- Ouette, participeront à l’action « À vélo vers les Jeux », ils parcourront 10 km pour emmener leur fanion rouge à l’école de Vaiges.

Dans cette commune mayennaise, située entre Laval et Le Mans, les élèves aiment le sport. Leur lieu préféré c’est le City Park, situé juste derrière leur école. Les enfants peuvent y faire du football, du basketball, se défouler avec leurs amis et rencontrer d’autres personnes. En plus, il est à côté de la toile d’araignée pour y grimper.

Soulgé-sur-Ouette possède plusieurs infrastructures sportives comme : le stade et la salle multisports. Cette dernière située à un kilomètre de l’école, à côté du stade de football, est utilisée régulièrement par l’école.

Une fois par semaine, les élèves font du hockey, ils ont déjà fait aussi du badminton, du basketball, de l’ultimate …

Cette salle est aussi utilisée par les différents clubs de sports : le football quand il pleut, le basketball tous les mardis et mercredis, le viet vo dao,

Les élèves de CM1/CM2 de l’école de Soulgé

Bais : son beau château, son panorama et sa championne

Les élèves de cours élémentaire de l’école publique de Bais vous expliquent pourquoi leur commune vaut le détour.

Le Montaigu

Situé à Hambers, à 2 km de Bais en Mayenne se dresse le Montaigu, une belle colline de 290 m d’altitude. Au sommet, on peut profiter d’une très belle vue panoramique (on peut voir très loin) sur les plaines au sud et à l’ouest et des collines (dont celles des Coëvrons) dans les autres directions.

Le site était déjà très apprécié au Moyen Âge et était très emprunté par les pèlerins qui allaient au Mont-Saint-Michel.

Tout en haut se trouve une chapelle que l’on peut même voir depuis la Normandie, Angers ou Vitré.

Aujourd’hui on peut trouver au Montaigu une centaine d’espèces végétales et animales qu’il faut protéger.

Le château de Montesson

Sur la route d’Hambers, à la sortie de Bais, on peut apercevoir un magnifique château.

Il a été construit entre le 14e et le 17e siècle et est entouré de douves. Le toit du pavillon d’entrée du château est remarquable car il est rond, en forme de bulbe. Sur la tour, le toit est également arrondi.

Sur la façade en granit, sont gravées les armes de la famille Montesson.

Ce château est privé mais les jardins peuvent être visités pendant les journées du patrimoine.

Manuela Montebrun une ancienne élève de Bais

Naissance : 13 novembre 1979 à Laval

Sport : lancer de marteau

Manuela Montebrun a habité à Bais. C’est au Collège de Bais qu’elle a découvert le lancer de marteau.

Elle a participé à plusieurs compétitions où elle a remporté des médailles. Aux Jeux olympiques de Pékin, elle gagne la médaille de bronze parce que deux sportives devant elle avaient triché.

Pour les Jeux olympiques de Paris, elle sera la capitaine du relais du parcours de la flamme dans notre département. Classe de GS-CP

Les élèves des classes de Gs/Cp et Ce1/Ce2 de l’école publique de Bais

Yohan Chevillard : l’entraineur de foot de Javron

Pour cette carte postale de notre commune, Javron-les-Chapelles, nous avons choisi de vous présenter un sportif investi dans la vie associative locale : Yohan Chevillard.

Yohan Chevillard joue au football comme senior et entraine les jeunes au FC de l’Aisne. Il est également trésorier du club.

Le FC de l’Aisne est le club de trois communes du nord de la Mayenne : Le Ham, Neuilly-le-Vendin et Javron-les-Chapelles. L’Aisne est une rivière qui traverse ces trois communes.

Ce n’est pas toujours facile d’être entraineur des jeunes : il faut gérer les enfants, et même parfois les parents. Il peut lui arriver d’être fatigué, physiquement et aussi moralement.

Yohan a commencé le football à six ans. Quand il était plus jeune, il a également pratiqué le judo. Aujourd’hui, il aime faire du footing et des randonnées en VTT (Vélo Tout Terrain) sur les chemins et les voies vertes. Nous lui avons posé la question, mais il ne sait plus à quel âge il a su faire du vélo sans roulettes !

Les CM1 de l’école Yves Duteil

Lassay-les-Châteaux : le couvent des Bénédictines

Jeudi 22 février 2024, dans la classe de CE2/CM1 de l’école des 3 châteaux, Angélique Gallier, responsable de l’office du tourisme sur la commune, est venue répondre à des questions sur le couvent des Bénédictines.

Lassay-les-Châteaux est une petite cité de caractère mayennaise et a fini 3ème l’an passé au concours du village préféré des français. La commune possède un patrimoine riche et remarquable : trois châteaux, une roseraie, plusieurs chapelles et églises remarquables et un ancien couvent dans lequel est installé aujourd’hui l’école et la médiathèque.

Le couvent a été construit en 1613, à la demande des Lasséens, par Jeanne de la Crossonière qui était la sœur principale. Ce lieu n’était pas pour les garçons mais pour les filles, pour pouvoir les éduquer religieusement.

Le couvent est toujours disposé en U. Il n’y a pas que la partie école, il y a aussi la médiathèque où Françoise et Pascal travaillent. Il y a aussi la partie Madiba, l’espace jeunesse.

Autrefois, c’étaient les sœurs qui enseignaient. Le couvent des Bénédictines a été fondé sur le lieu–dit de MONTAIGU. Il abritait alors une école de jeunes filles et de grandes pensionnaires enfermées par lettre de cachet. Il fut pillé à la révolution française et les religieuses rendues à la vie civile le 2 avril 1792. En 1807, la municipalité installa dans le couvent la justice de paix, l’hospice et le collège.

Soline, Yvana, Flora et Katniss, CE2/CM1 de l’école des 3 châteaux

La danse avec Lucie à Lassay-les-Châteaux

Lundi 11 mars, à 20h15, à la salle polyvalente de Lassay-les-Châteaux, Lucie Derenne termine son cours de danse moderne jazz. Elle accepte alors de nous présenter sa passion : la danse

Cela se passe tous les lundis soir après l’école. Rebeca, élève en CE2, va à la danse à 18h à côté du collège Victor Hugo à Lassay. Elle y retrouve Lucie, sa professeure de danse et ses camarades qui vont bouger sur la musique pendant 1h – 1h15.

Il y a 3 groupes de niveaux en danse. Le 1er groupe est accueilli par Lucie dès 17h. Le 2ème commence à 18h puis le 3ème enchaîne à 19h. Les cours se terminent à 20h15, un peu plus de 3h en tout pour Lucie. Elle est arrivée vers 16h50 à la salle multifonctions pour préparer les cours.

Lucie a commencé la danse à 11 ans à Mayenne, puis a stoppé avant de reprendre à 14 ans. Ensuite, elle n’a plus jamais arrêté. Elle ne pensait qu’à ça. Plus tard, elle a voulu en faire son métier. Elle a fait du hip-hop, de la danse moderne jazz et contemporaine. Elle a dû aussi se mettre à la danse classique.

Être Professeure de danse est un métier artistique et exigeant. Elle s’est dit qu’elle n’y arriverait pas mais elle a finalement réussi. Cela était presque un rêve.

Elle a fait des études classiques. Elle a passé son bac STG puis un autre diplôme en études supérieures. Elle s’est inscrite ensuite dans une école de préparation pour être professeure de danse. Il faut avoir un EAT : examen d’aptitudes techniques. Elle est partie à Nantes pour obtenir son diplôme d’état.

A la question : « La danse a-t-elle sa place aux JO ? » Mme Derenne répond que c’est à la fois un sport et de l’art et que la question de la présence du hip-hop comme épreuve à Paris avait toute sa place.

Après quelques années, elle aime toujours autant son métier, même si elle n’exerce plus à temps plein. Il faut trouver du temps après l’école, les horaires sont décalés. Sa vie personnelle et familiale a fait que c’est compliqué qu’elle soit présente tous les soirs.

Si vous avez envie de vous libérer, de bouger sur de la musique, venez découvrir les cours de danse du conservatoire de Mayenne avec Lucie.

Clara, Madison, Rebeca en CE2/CM1 à l’école des 3 châteaux

L’Huisserie, vous connaissez ?

Non ? Séance de rattrapage avec les élèves de CM1-CM2 de l’école publique de L’Huisserie !

D’où vient peut-être le nom de la commune ?

Son nom est attesté sous la forme « Hostiara » en 1421. L’origine du toponyme est incertaine. Il pourrait s’agir de l’ancien français huisserie, « porte », peut-être dû à l’originalité de l’entrée d’une habitation.

Dans quel département se trouve-t-elle ?

L’Huisserie se trouve dans le beau département de la Mayenne (53).

Dans quelle région ?

L’Huisserie se situe dans la région des Pays de la Loire.

Quelle est sa superficie ?

Environ 15 km².

Combien a-t-elle d’habitants ?

Il y a 4 435 habitants (en 2021).

Comment les appelle-t-on ?

Les habitants s’appellent les huissériens et les huissériennes.

Fait-elle partie d’une communauté de communes ?

Oui, il s’agit de Laval Agglo (34 communes).

Est-ce que c’est une commune dynamique ?

Oui, il y a de nombreuses activités pour tout le monde : la chasse aux œufs, le festival des épouvantails, du théâtre, de la danse, de la musique avec le conservatoire.

Il y a une médiathèque, l’Interlude, et un espace culturel, l’Espace du Maine.

On peut pratiquer de nombreuses activités sportives : foot, hand-ball, badminton, danse, gymnastique rythmique, volley, équitation, basket, tennis, judo, ping-pong…

Il y a plus de 40 associations sportives et culturelles à L’Huisserie.

Quelles sont les raisons d’aimer vivre ici ?

C’est une commune calme, proche de Laval. C’est vert : il y a le bois de l’Huisserie, la rivière la Mayenne. Le Centre d’Initiation à la Nature est là pour vous faire découvrir la nature.

Les CM1/CM2 de l’école publique de L’Huisserie

Des mines à L’Huisserie

À L’Huisserie, il y a eu des mines pendant presque un siècle ! Les premières recherches ont débuté en 1823 et la période d’exploitation la plus active a été comprise entre 1860 et 1880. Les principales mines étaient situées le long de la route de la Plaine, et s’étendaient jusque sur la commune voisine de Montigné.

Le charbon extrait des mines de L’Huisserie-Montigné servait à alimenter les fours à chaux. La chaux servait d’engrais aux agriculteurs (elle était très utilisée en Mayenne).

À L’Huisserie, Il y a eu jusqu’à 200 mineurs. Après 1850, en dix ans, la population est passée de 800 à 1200 habitants. Il a fallu construire un 2ème lavoir et de nouvelles écoles (une pour les filles, l’autre pour les garçons).

Les mineurs travaillaient de 7h à 17h. Ils n’avaient qu’un jour de repos, le dimanche et parfois quelques congés non payés. Les mineurs de fond utilisaient un pique (pioche) pour creuser, les boiseurs solidifiaient les mines à l’aide de bois de chêne et de pin.

Ils vivaient dans de très mauvaises conditions d’hygiène. Ils n’avaient ni eau ni électricité. Ils mangeaient beaucoup de pain et de soupe mais très peu de viande.

À l’époque, l’école n’était pas encore obligatoire (elle le deviendra en 1882). Certains enfants suivaient leur père dans les mines : ils poussaient les chariots dans les galeries étroites et nettoyaient les chaudières.

Les mineurs pouvaient descendre jusqu’à 200 mètres de profondeur avec des échelles d’environ 5 mètres. Ils respiraient dans les galeries grâce à des cheminées qui assuraient la ventilation.

Les femmes ne travaillaient pas dans les mines contrairement au nord de la France. Elles nettoyaient les vêtements des mineurs, faisaient le ménage, la cuisine et parfois elles triaient le charbon de la terre.

Pendant le travail des mineurs, il y a parfois eu des accidents provoquant des blessés et même des morts (mais jamais à cause d’une explosion générale de la mine).

A partir de 1850, le développement du transport par trains a permis de faire venir du charbon du nord de la France à moins cher, de nouveaux engrais (chimiques) sont apparus remplaçant la chaux dans les champs : les besoins en charbon de L’Huisserie ont donc diminué…

Et à partir de 1914, beaucoup de mineurs sont partis comme soldats à la première guerre mondiale. Les mines, pas assez entretenues et n’étant plus rentables, ont fini par fermer.

Aujourd’hui, les anciennes galeries sont inaccessibles, bouchées ou écroulées…

Les CM1/CM2 de l’école publique de L’Huisserie