Marcillé-la-Ville, étape incontournable pour les cyclistes

Le jeudi 23 mai, Marcillé-la-Ville accueillera les jeunes cyclistes participant à la 6ème étape du tour de la Mayenne « À vélo vers les Jeux ». L’arrivée des élèves aura lieu au terrain multisports.

Marcillé-la-Ville est une commune rurale située au nord-est de la Mayenne où vivent environ 730 habitants. Le village est traversé par une rivière : l’Aron et il possède un étang où on a la possibilité de pêcher. Un lavoir datant de 1922 et des stèles gauloises font partie du patrimoine de la commune.

Cette dernière possède également plusieurs sentiers de randonnées dont la voie verte que les jeunes cyclistes emprunteront.

Cette voie verte, aménagée sur une ancienne voie ferrée, va de Mayenne à Javron-les-Chapelles. On peut y circuler à pied, à vélo, à trottinette ou à cheval. La distance est d’environ 42 km.

Marcillé-la-Ville est une commune sportive et labellisée Terre de Jeux 2024. Il y a des associations sportives et de nombreux équipements : un terrain de tennis, un terrain de foot et un city pour développer le sport et les loisirs pour tous. Le city est adapté à la pratique de plusieurs sports (le football, le handball, le basket-ball et le volley-ball) et permet de se retrouver et de partager un moment ensemble.

De plus, la commune organise depuis 2023 une fête du sport. La deuxième édition aura lieu le 9 juin sur le thème des olympiades. Tout le monde peut y participer !

La commune est particulièrement attachée au cyclisme. Le tour de France 2018 est en effet passé par Marcillé-la-Ville le vendredi 13 juillet lors de la 7ème étape Fougères/Chartres et, chaque année, en avril, le village organise une course de cyclisme lors de la fête communale.

Les élèves de CM1/CM2 de l’école Henri Matisse

La Bazoge-Montpinçon, une commune de sportifs !

La Bazoge-Montpinçon est une commune d’un peu plus de 1 000 habitants située à 5 km de Mayenne. De nombreux sportifs vivent dans ce paisible village labellisé Terre de Jeux 2024. Nous avons pu en rencontrer quelques-uns.

Romain Margerie du haut de ses 19 ans est un sportif de la Bazoge-Montpinçon. Il pratique le kayak slalom dont l’objectif est de passer des portes sur l’eau le plus vite possible : les vertes dans le sens du courant et les rouges à contre-courant. Après avoir essayé le foot et le judo ; vers 9 ans, il a enfin trouvé son sport coup de cœur. Il a remporté le titre de champion de France biplace. Étant actuellement en National 2, son objectif pour 2024 serait de monter en National 1.

Né à Mayenne, Anthony Avril a 32 ans, il pratique le duathlon et le triathlon. Le duathlon est un sport qui consiste à faire de la course à pied, du vélo et encore de la course à pied. Le triathlon, lui, consiste à enchaîner une épreuve de natation, puis de vélo et enfin une de course à pied. Il a été champion de France de Duathlon individuel en 2022. Il a commencé le sport à l’âge de 3 ans. Il s’entraîne entre 25 et 30 heures par semaine. Son objectif de cette année est de remporter à nouveau le titre de champion de France en Duathlon et d’être sélectionné en équipe de France pour participer aux championnats d’Europe ou du Monde.

Mathieu Claustre, ce sportif de 40 ans est né en en Bretagne et a remporté plusieurs courses à obstacles, il a même participé au championnat d’Europe Spartan Race. Aujourd’hui, il pratique le triathlon. Il a commencé le sport à 6 ans. Il a eu la chance de voyager dans plusieurs pays pour de nombreuses compétitions. Son adversaire le plus redoutable est son mental, cette petite voix dans sa tête qui lui dit qu’il n’a pas le niveau ou de ralentir quand ça devient trop dur. Mais il arrive à maîtriser cette petite voix grâce au yoga et la remplacer par des pensées positives.

Daniel Fernandez a 85 ans, il fait de l’athlétisme, sa spécialité est le saut en hauteur. Il fait entre 10 et 14 heures d’entraînement par semaine. Son record personnel est de 2m02. Il a été trois fois champion du monde et trois fois champion d’Europe. Il est actuellement recordman de France des 80-85 ans. Son objectif est de prendre le record des plus de 85 ans. Daniel espère continuer son sport encore longtemps. Il a récemment appris qu’il allait porter la flamme olympique lors de son passage à Mayenne, c’est un grand honneur pour lui.

Les CM1/CM2 de l’école de la Bazoge-Montpinçon

Robert Buron, un homme important pour Villaines-la-Juhel

Robert Buron, est né le 27 février 1910 et mort le 28 avril 1973 à Paris. Il a étudié à la faculté de droit à Paris, puis a fait un doctorat en droit. Il a été notamment maire à Villaines-la-Juhel pendant 17 ans (1953-1970), ville où il a principalement fait sa carrière politique. Il est arrivé ici parce qu’il y avait sa maison secondaire.

Cet homme a été également conseiller général du canton de Villaines-la-Juhel (1951-1970). Il a participé au développement économique de cette commune, principalement en faisant venir des entreprises.

Il a également eu un rôle important durant la 2ème Guerre Mondiale, il était secrétaire général du comité d’organisation du cinéma puis administrateur général de la radio diffusion.

Durant toute sa vie, il a réussi à être ministre de plusieurs instances : information, France d’outre-mer, des affaires économiques, des travaux publics, des transports, du tourisme et des finances. Il a notamment été ministre du Général de Gaulle. De plus, il a été également député de la Mayenne.

À la fin de sa vie, il fut maire de Laval pendant 2 ans et est décédé durant son mandat.

En son honneur, une place lui a été dédiée à Villaines-la-Juhel : la place Robert Buron.

Elèves de CM1-CM2 du groupe scolaire Henri Schmitt de Villaines-la-Juhel

Notre belle commune de Gesvres

Le mardi 21 mai 2024, l’école de Gesvres participera au projet départemental « À vélo vers les jeux ». Les élèves de cycle 3 partiront à vélo sous les encouragements des Gesvrois aux alentours de 9h15 pour se rendre à la ville étape de Villaines-la-Juhel.

Gesvres fait partie de la province historique du Maine, et se situe dans le nord-est de la Mayenne. C’est un petit village de 530 habitants très agréable.

Voilà ce qui fait de cette commune un endroit où il fait bon vivre : d’abord, le centre du village avec l’épicerie où l’on peut trouver des produits locaux et de délicieuses viennoiseries, la salle des fêtes qui sert également de cantine et de salle de sport, le bar le Shelby et le parc.

Le parc est un endroit où l’on peut s’amuser grâce aux toboggans, à la table de ping-pong, et ses espaces permettant de pique-niquer. Il y a également notre école Berthe Renard qui est un lieu où nous, les enfants, nous grandissons et apprenons chaque jour un peu plus grâce à nos amis et aux adultes qui nous entourent. Elle comporte trois classes de la toute petite section au CM2 et 2 cours de récréation qui nous permettent de nous défouler.

Côté sport, Gesvres, labellisée Terre de Jeux 2024, nous offre un beau stade de football à deux pas de l’école, bordé du city stade multisports créé en 2022. Il y a deux clubs sportifs gesvrois : le cyclotourisme et la gymnastique.

Si l’envie vous prend de vous balader et d’admirer de jolis paysages, nous vous conseillons de vous rendre au pont de 5 Pierres, un lieu magnifique et au calme où l’on peut contempler la faune et la flore mayennaise. Et si vous êtes amateur de pêche, l’Ornette, petit ruisseau qui traverse la commune vous offrira de jolies possibilités.

Les CE1, CM1 et CM2 de l’école primaire Berthe Renard de Gesvres

L’école de Saint-Cyr-en-Pail à vélo

Le 17 mai 2024, les élèves de l’école de Saint-Cyr-en-Pail iront à l’école de Javron-les-Chapelles en vélo.

Les élèves y déposeront leur fanion afin qu’il soit réuni à Mayenne avec ceux des autres écoles.

Saint-Cyr-en-Pail est un petit village rural de 497 habitants. Il dispose de commerces de proximité (boulangerie, restaurant, bibliothèque, école). De nombreuses activités sont proposées comme des cours de dessin, du foot ou des jeux de cartes.

L’école de Saint-Cyr est spéciale, elle fait partie d’un RPI (regroupement pédagogique intercommunal). Les élèves de CM1-CM2 viennent de trois communes (Saint-Calais-du-Désert, Saint-Aignan-de-Couptrain et Saint-Cyr-en-Pail). L’école participe au projet départemental « À vélo vers les jeux ».

Le 17 mai, ils iront donc à l’école de Javron-les-Chapelles en vélo où ils seront accueillis par les élèves de Javron mais aussi par les maternelles et CP-CE1-CE2 du RPI entre autres.

Les élèves disent être contents de faire du vélo.

Trajet dans la campagne

Saint-Cyr-en-Pail est majoritairement composé de champs, ce qui permet de belles balades.

Les 18 élèves accompagnés de quatre adultes parcourront les routes vallonnées à travers les petits hameaux du village.

Ils partiront à 9h30 et feront des pauses sur la route pour se reposer et se transmettre le fanion de vélo en vélo. Les élèves arriveront à Javron entre 11h et 12h. Une fois arrivés, bien accueillis, à l’école Yves Duteil, les élèves mangeront puis se verront proposer quatre ateliers autour des Jeux olympiques, de la sécurité routière et de la nutrition. Les élèves repartiront à 14h30 et arriveront vers 16h à leur école.

Les élèves de Saint-Cyr-en-Pail

Les Poôtéens et Poôtéennes en route vers les Jeux !

Pour cette année olympique et paralympique, plusieurs écoles dont les 30 CM1 et CM2 de l’École de Saint-Pierre-des-Nids participeront au projet départemental « À vélo vers les Jeux ».

L’objectif est de rallier Gesvres en partant de Saint-Pierre-des-Nids en bicyclette pour y transmettre un fanion comme pour la flamme olympique. Les fanions seront transportés à Laval. Les élèves de l’école seront accompagnés de six parents et deux enseignantes en vélo, deux parents en voiture (pour le transport des pique-niques, des vélos de secours…). Pour la sécurité des élèves, les voitures seront placées devant et derrière le groupe.

Ainsi, vendredi 17 mai, nos cyclistes poôtéens parcourront 16 km aller-retour sur nos routes de campagne. Mais d’ailleurs, d’où vient ce nom de « Poôtéen » pour les habitants de Saint-Pierre-des-Nids ?

Il faut remonter loin dans l’histoire, jusqu’à l’Antiquité ! À cette époque, les Romains ont construit une voie romaine reliant Noviodunum (Jublains) à Autricum (Chartres). Sur le trajet de cette voie romaine, il semblerait qu’à l’emplacement du Pré de la ville de Saint-Pierre-des-Nids ait existé une villa gallo-romaine. Cette villa était aussi appelée « La Potestas de Nidis » : « le domaine des nids » en raison des nombreux oiseaux présents dans le village et autour.

Au fil des siècles, le nom « La Potestas » s’est transformé en « La Poôtée ». Mais l’origine de son nom s’est perdue…

En 1928, les membres du conseil municipal proposent de changer le nom de « La Poôtée » en « Saint Pierre des Nids ». Ce qui est, selon eux, plus proche de la réalité de la commune avec son église dédiée à saint Pierre et ses nombreux oiseaux.

Les habitants ont donc conservé leur nom de Poôtéens et Poôtéennes mais pas la commune !

Les élèves de CM1 et CM2 de l’École Simone Veil, Saint-Pierre-des-Nids.

Le pont de la Varenne est un lieu chargé d’histoire

Il y a 80 ans, les Américains détruisaient le pont d’Ambrières-les-Vallées pour empêcher les Allemands de rejoindre la Normandie.

La ville d’Ambrières-les-Vallées fut énormément bombardée pendant la Seconde Guerre mondiale et notamment le jour du 14 juin 1944 où dix-neuf personnes ont perdu la vie et de nombreuses autres ont été gravement blessées. À la suite du débarquement allié en Normandie, les Allemands rejoignent le front pour empêcher la progression des alliés, le pont d’Ambrières est alors un point stratégique de passage et de circulation des véhicules militaires. C’est pourquoi les Américains ont bombardé ce pont afin de le détruire et ainsi freiner la progression des Allemands qui construisent alors un pont provisoire pour permettre la traversée de leurs véhicules. Ambrières sera finalement libérée en août 1944.

La mairie commémorera cette année, en juin 2024, les 80 ans de la libération du village en partenariat avec la classe Défense du collège Léo Ferré.

À la fin de la guerre, le passage d’une rive à l’autre se faisait sur un pont provisoire. Ce n’est qu’entre les années 1955 et 1960 que la reconstruction d’un pont définitif fut lancée. Elle sera achevée en 1962.

Actuellement, la mairie réfléchit à un projet de passerelle qui permettrait aux cyclistes, notamment ceux de la Vélo-Francette et aux piétons d’accéder au centre-ville d’Ambrières en toute sécurité. Ce projet devrait voir le jour en amont du pont actuel.

La ville d’Ambrières a toujours été un lieu stratégique de passage. C’était notamment le cas au Moyen-Âge lorsque Guillaume le Conquérant en avait fait un avant-poste où il avait construit une forteresse afin de surveiller les frontières de son territoire en Normandie.

C’est encore le cas aujourd’hui puisque le pont d’Ambrières permet de relier la Mayenne et l’Orne, ce qui fait de lui un point de circulation important où environ 5 000 véhicules passent tous les jours.

Le pont est également le théâtre d’événements sportifs comme les courses cyclistes du Tour de France ou encore tous les quatre ans de Paris-Brest-Paris. Cette année sera plus particulière encore puisque les élèves de CM1–CM2 de l’école communale emprunteront le pont pour rejoindre la ville de Lassay-Les-Châteaux dans le cadre du projet « À vélo vers les Jeux ».

Les élèves de la classe de CM2 de l’École d’Ambrières-les-Vallées

Le patrimoine historique de Chantrigné

Chantrigné est une petite commune du nord de la Mayenne, elle comporte environ 600 habitants et 3 monuments historiques classés ou inscrits que l’on peut admirer lors de nos escapades à vélo.

Tout d’abord, dans le centre du bourg, nous pouvons admirer l’église St Pierre et St Paul. De type romane, elle a été construite au XIe siècle. Son clocher était l’un des plus hauts de la région avant d’être restauré deux fois et notamment après le bombardement des Américains pour la libération d’août 1944.

On a supprimé la chapelle pour agrandir le virage de la route des Vallées. L’intérieur de cette église inscrite au titre des Monuments Historiques en 1956, a été rénové en 1958.

Sur la route de Lassay-les-Châteaux, dans une petite impasse, après avoir marché dans un petit chemin bordé de charmes, on arrive devant l’allée couverte de la Hamelinière.

C’est un mégalithe construit au Néolithique et plus précisément entre 3 000 et 2 500 ans avant J.-C. Ce monument funéraire servait autrefois à enterrer les morts et à leur rendre hommage. Il mesure environ 11 m de longueur sur 1,50 m et comprend 23 dalles. Des fouilles archéologiques ont permis d’y retrouver des objets préhistoriques tels qu’un vase, des haches polies, des poignards en silex, etc.

À l’époque préhistorique, ce dolmen était recouvert d’un tumulus en terre. Malheureusement, comme beaucoup de dolmens, il a été endommagé, pillé mais il a été restauré grâce aux archéologues dans les années 2000.

Cette allée est classée Monument Historique depuis 1932.

Une légende raconte que des fées s’amusent à déplacer les pierres pour qu’on ne puisse pas les compter.

Enfin, dans la campagne de Chantrigné, on peut observer un menhir d’environ un mètre. Il est situé au bord de la route, à côté du lieu-dit Le Grand Coudray, il en porte d’ailleurs le nom !

Les élèves de CM de l’École Maurice Carême

Saint-Mars-sur-Colmont, un village à découvrir

Saint-Mars-sur-Colmont est un village qui se situe dans le nord-ouest de la Mayenne, près de Gorron et d’Ambrières. Dans notre village, nous pouvons compter environ 450 habitants.

Côté restauration, nous avons un bar-restaurant. Quelques fois le samedi, nous avons la possibilité de manger tête de veau ou petite oie mais il faut penser à réserver. Nous pouvons y faire une partie de billard ou de baby-foot.

Près du restaurant, nous avons la possibilité d’admirer l’église et son monument aux morts. Un peu plus loin, vous trouverez la salle des fêtes qui sert également de cantine pour les enfants de l’école et de salle de gymnastique. Au pied de la salle des fêtes, nous avons accès à un terrain de tennis. Dans le village, nous avons aussi un terrain de foot. Notre club de foot se nomme USSM : Union Sportive Saint-Mars.

À côté du parking de l’école, se trouve un four à pain. Quatre fois dans l’année, le four est rallumé pour vendre des viennoiseries et du pain aux habitants de Saint-Mars.

À l’école Henri Matisse, le sport est au centre des apprentissages. Tous les ans, nous découvrons des activités sportives (escrime, pelote basque, pétanque, hockey, etc). En janvier, nous sommes partis en classe découverte près d’Ancenis. Le thème de ce séjour était l’histoire, le sport et les jeux olympiques. Nous avons fait de la course d’orientation, du tir à l’arc, du Kinball, de l’équitation… En sport adapté, nous avons fait une initiation à la sarbacane et au Torball.

Pour nous préparer à la sortie « À vélo vers les Jeux », nous avons réalisé plusieurs sorties à vélo. Au cours d’une des sorties, nous avons découvert le dolmen, appelé aussi l’allée couverte du Petit Vieux Sou, datant de 2 400 ans avant J.-C.

Si vous aimez les promenades à vélo, vous pouvez partir du bourg de Saint-Mars-Sur-Colmont en direction de Brecé pour aller voir le dolmen et les trésors qu’il cache. En poussant un peu plus loin, vous arriverez sur les bords de la Colmont.

Les élèves de CE-CM de l’École Henri Matisse

Gorron, une étape incontournable !

Le 13 mai 2024, Gorron accueillera la première étape du tour de la Mayenne « À vélo vers les jeux ». Les premiers à partir viendront de Fougerolles, d’Ernée ou encore de Saint-Mars-sur-la-Futaie pour transmettre leurs fanions aux CM2 de l’école publique gorronnaise.

Gorron est une petite ville du Nord-Ouest de la Mayenne non loin de la Bretagne et très proche de la Normandie. Elle est labellisée « Terre de Jeux » et « Génération 2024 » pour son école.

En 2000, 2009, 2013 et 2017, Gorron a reçu le label de la « Ville Sportive », décerné par le Comité régional olympique et sportif des Pays de la Loire (Cros).

Qualité et quantité des équipements, diversité des activités, soutien aux pratiques sportives et actions sociales d’insertion sont ainsi récompensés.

Dans la catégorie « ville de moins de 4 000 habitants », grâce à ses 19 associations sportives et ses 1 750 licenciés, Gorron a obtenu une distinction de 4 flammes (sur 5).

Mais Gorron est aussi connue dans tout l’Ouest de la France grâce à ses fameuses rillettes. Et que dire de la SERAP qui diffuse le savoir-faire gorronnais en matière de citerne dans le monde entier.

Il n’y a pas que le sport et l’économie, Gorron est aussi une ville culturelle qui accueille des spectacles tout au long de l’année à l’Espace Colmont, avec en point d’orgue le FESTI d’AL : deux jours de concerts de musiques actuelles chaque deuxième week-end de juillet.

Les élèves de CM de Gorron.