Hugo Foucher, kayakiste genestois

Hugo Foucher est un jeune genestois de 17 ans qui, depuis l’âge de 8 ans, pratique le kayak au club de Laval. Le kayak est une embarcation propulsée à l’aide d’une pagaie. On peut en faire seul, à deux ou à quatre.

Douze heures par semaine, Hugo s’entraîne après l’école en réalisant des exercices pour gagner en puissance et en vélocité : il fait environ 8h de kayak, 2h de musculation et 2h de natation.

Pour sa santé et ne pas se blesser, Hugo suit des règles strictes concernant le sommeil et son alimentation : il se couche tôt et dort environ 11h par nuit, il mange équilibré et boit beaucoup d’eau pour bien hydrater son corps. Malgré cela, les blessures peuvent arriver notamment aux poignets, aux épaules et aux bras.

Le kayak c’est une histoire de famille : sa maman et sa sœur pratiquent le même sport et son papa le coache. Grâce au soutien de sa famille, il arrive à gérer la pression et le stress liés aux courses.

Lors de ses compétitions, il est amené à voyager un peu partout en France. Il est champion de France en K4 (kayak 4 places) et vice-champion de France de fond en K4. Sa prochaine compétition aura lieu en Corrèze pour une course de 20 minutes, suivie d’un sprint.

Il a pour objectif de rejoindre l’équipe de France, de participer aux championnats d’Europe en Suisse et aux championnats du monde en Espagne. Hugo nous a confié : « Les JO 2028, c’est mon rêve mais il faut d’abord que je m’entraîne beaucoup et que je travaille dur pour que cela devienne un objectif atteignable. »

Les élèves de CE2-CM2 de l’école élémentaire Albert Jacquard

Ruillé-Froid-Fonds, en selle jusqu’au Bignon-du-Maine !

Le mardi 4 juin, les élèves de CM1-CM2 de l’école de Ruillé-Froid-Fonds se rendront à vélo au Bignon-du-Maine pour participer au projet « À vélo vers les Jeux ».

Ruillé-Froid-Fonds est un petit village qui se situe au sud de la Mayenne, à 11 km au Nord de Château-Gontier. Il est traversé par le ruisseau du Pont Manceau. Il compte 565 habitants qui se nomment les Ruilléens. On y trouve des monuments : le Domaine de Mauvinet, le château du Puy, une église du Moyen-Âge construite au XIIème siècle et également un hôtel-restaurant, le Camélia.

Il y a plusieurs haras. On retrouve d’ailleurs un cheval sur le logo de la commune.

Le domaine de Mauvinet

Bâti en 1890, sur un parc de 1,5 hectare, par un sculpteur sur bronze, Geoffroy de la Planche de Ruillé (1842-1923), passionné par les chevaux, il aura fallu 20 années de construction afin d’achever ces écuries. Malheureusement, le sculpteur a finalement perdu la propriété aux jeux d’argent. Dans les années 1930, la famille Fourneret la rachète. Puis, la famille Pottier fait l’acquisition de la propriété en 2018 et la rénove de manière respectueuse de l’environnement et en gardant l’architecture traditionnelle et historique. La famille Pottier transforme les écuries en un lieu pour organiser des événements privés et professionnels comme des mariages.

Sur la façade, entre les deux sculptures de chevaux, on aperçoit un blason. Sur la gauche du blason, les vagues sont le symbole de la famille de la Planche de Ruillé. De l’autre côté, on peut voir le blason du comte de Mauvinet. Au-dessus du blason, on aperçoit la couronne qui représente la noblesse.

Le blason de la famille de la Planche de Ruillé peut aussi être trouvé dans le musée de Versailles, dans la première salle des croisés.

Les CE2-CM1 et CM1-CM2 de l’école Arc-en-Ciel à Ruillé-Froid-Fonds

Notre chouette ville de Cossé

Cossé-le-Vivien compte 3 276 habitants. Le maire est Christophe Langouët. Notre commune se situe à 11 kilomètres de Craon, 18 de Laval et à 22 kilomètres de Château-Gontier.

Il y a deux collèges et trois écoles. À côté de l’école Jean Jaurès, nous trouvons des équipements sportifs (4 terrains de football, 1 piste d’athlétisme, 2 terrains de tennis et 1 grande salle de sport). Il y a aussi une caserne de pompiers, une maison de santé inaugurée en novembre 2021.

L’histoire du clocher

La nouvelle église de Cossé-le-Vivien a été construite en 1873. En 1898, la flèche risquait de tomber. Le beffroi, bardé de planches en bois noires, est alors installé sur la place du Champ de Foire. Il affronta les tempêtes et le mauvais temps pendant trois quarts de siècle. En 1967, une énorme intempérie cassa une partie du clocher qui pencha énormément et devint le cousin de la Tour de Pise. Finalement, il est reconstruit en 1976. Nous avons de la chance car notre église est différente des autres. Cela nous rappelle notre belle histoire de Cossé-le- Vivien !

Le Musée Robert Tatin

Le musée Robert Tatin est créé entre 1962 et 1983, il est célèbre à Cossé-le-Vivien. Étant à l’origine une ferme, elle a été rénovée de fond en comble. Il y a de nombreuses statues sculptées par Monsieur Tatin avec l’aide de sa femme Lise. On peut observer une fontaine à l’entrée avec des statuettes colorées. Plus loin, un chemin mène à la maison du créateur du musée. Il y est d’ailleurs enterré. Le musée est très fleuri, avec un bassin rempli de poissons. Avec le temps, le musée s’est un peu fragilisé, nous espérons que rien ne s’effondre.

Cossé-le-Vivien est une commune entre ville et campagne qui dispose aussi d’espaces verts pour se balader. La « Pré de Cossé » est traversée par un ruisseau appelé le Raguenard qui se jette dans l’Oudon. Le jardin public regorge de jeux de tout âge. Parfois, il y a des spectacles qui y sont organisés ou des feux d’artifice. Il y a aussi des sentiers de randonnée tout autour de Cossé qui rejoignent la voie verte, une ancienne voie ferrée.

Le passage de la Flamme Olympique à Cossé

Le mercredi matin du 29 mai, nous aurons la chance d’accueillir la Flamme Olympique à Cossé-le-Vivien. Elle partira du musée vers 10h45 et arrivera à la Plaine Sportive Maurice Sorin à 11h15. Il y aura plein d’animations. Catherine Charles, Présidente des Embuscades qui organise le festival de l’humour a été choisie pour porter la flamme sur un bout du parcours. C’est une grande fierté.

A l’école, nous participons tous les ans au P’tit Tour à vélo de l’USEP. Cette année, nous sommes très contents de faire partie des 2 600 élèves qui vont faire partie du projet « À vélo vers les jeux ». Le jeudi 20 juin, nous nous rendrons à Loiron pour transmettre notre fanion et nous parcourrons environ 40 kilomètres.

Les CM1/CM2 de l’école Jean Jaurès

La nouvelle école de la Selle-Craonnaise

Dans notre village, une nouvelle école a été construite. Elle a été réalisée avec du bois et une isolation en paille. C’est une école écologique.

Pour faire la nouvelle école, il a fallu 18 mois de travaux. La mairie a fait venir les architectes Huitorel et Morel, ce sont eux qui ont imaginé l’école.

Les classes sont lumineuses et bien équipées (tablettes, vidéoprojecteurs) et cela permet de travailler dans de bonnes conditions. Grâce à leur travail, les architectes ont gagné un prix d’architecture pour la construction de notre école.

Les architectes ont proposé de faire des structures de jeux en bois pour jouer à l’extérieur. Nous avons travaillé avec les architectes pour imaginer les structures. Nous avons une grande cour séparée en deux, une partie pour les maternelles et une partie pour l’école élémentaire.

Les élèves de CM1-CM2

Les jeunes Fromentinais, à vélo : plus haut, plus loin … Ensemble !

Vendredi 7 juin 2024, les élèves de CM1 et CM2 de l’école de Fromentières participeront à l’opération « A vélo vers les jeux » à l’occasion des Jeux Olympiques et Paralympiques.

Les élèves apporteront, à vélo, des fanions à l’école Jean Guéhenno de Château-Gontier-sur-Mayenne, soit un parcours de 13 km.

Fromentières, labellisée Terre de Jeux, est une petite commune rurale située à 6 km de Château-Gontier. Le village tirerait son nom de son sol riche pour la culture du blé (froment) mais aussi le vin jusqu’au XVIIème siècle.

Le village, légèrement vallonné, est longé à l’Ouest par la rivière La Mayenne.

Le 7 juin, les élèves emprunteront la piste cyclable sur le viaduc de la Mayenne qui relie Fromentières à La Roche-Neuville. Ce pont impressionnant mesure 28 mètres de hauteur. En dessous, une passerelle pour les piétons compte 260 marches et offre une vue magnifique sur La Mayenne. Sa construction a duré 3 ans et demi. Il a été ouvert à la circulation en octobre 2022.

L’école Elisée et Berthe Mautaint, labellisée Génération 2024, participe à de nombreuses activités sportives tout au long de l’année scolaire proposées par l’USEP, l’Education Nationale ou par la Communauté de Communes du Pays de Château-Gontier. Les élèves ont ainsi pu découvrir le rugby, l’escrime, le handisport… Ils sont partis en classe de neige à Valloire, se sont perfectionnés en natation, … et ont appris à rouler à vélo en toute sécurité !

Construite en septembre 2006, le nom de l’école a été donné en hommage à un couple d’enseignants dont le mari fut un important chef de la « Résistance » en Sud-Mayenne pendant la guerre 1939-1945.

Les CE2/CM1 de l’école Elisée et Berthe Mautaint

Un relais à vélo à Château-Gontier-sur-Mayenne

Le vendredi 7 juin, la commune de Château-Gontier-sur- Mayenne accueillera la 15ième étape du tour de la Mayenne « A vélo vers les jeux ». Les jeunes cyclistes partiront de Fromentières pour rejoindre Château-Gontier.

Sur cette commune, on peut visiter le Refuge de l’Arche. On y trouve différentes espèces d’animaux sauvages et même exotiques. Leur particularité est qu’ils viennent de différents endroits comme des cirques ou des laboratoires. Ils ont été blessés ou ont été maltraités.

Non loin du refuge, on peut apercevoir la Mayenne. Cette rivière, qui passe aussi par Laval et Mayenne, mesure 203 kilomètres.

Depuis octobre 2022, un viaduc surplombe la Mayenne. On peut le traverser à vélo, à pied ou en voiture.

Dans le faubourg de Château-Gontier, on peut visiter le couvent des Ursulines qui existait déjà à la période des Temps modernes. À l’intérieur, il y a maintenant un théâtre, le Carré et le Conservatoire de danse et de musique de la ville.

Les élèves de CE2-CM1 de l’école Jean de la Fontaine

À la découverte de Coudray avec Mr Bonsergent

Le mardi 13 février 2024, nous avons accueilli, dans notre classe de CM2, Jean Paul Bonsergent, une personne connue dans le village de Coudray. Il est âgé de 70 ans. Il adore transmettre l’histoire de Coudray aux jeunes et même aux plus âgés. Nous lui avons posé quelques questions.

Quel était votre métier ?

Mon métier, et bien à 20 ans pendant les vacances j’ai travaillé à l’hôpital et j’ai été aide soignant pendant une quinzaine d’années [ …] Ensuite, j’ai été animateur à l’hôpital Saint Joseph de Château-Gontier où je m’occupais des personnes âgées. Mais mon métier, c’était soignant j’ai été dans une équipe soignante et ça, c’était un beau métier !

Pourquoi vivez-vous à Coudray et depuis combien de temps ?

Je me suis marié avec ma femme en 1978 en même temps que je me suis installé à Coudray. Ma famille et ma belle-famille y étaient attachées. J’habite à Coudray depuis 45 ans et je suis dans la même maison depuis tout ce temps.

Qu’avez-vous fait pour Coudray ?

Je n’ai pas fait grand-chose, je me suis investi au conseil municipal. J’ai été bénévole à la bibliothèque et je le suis toujours depuis sa création en 1999-2000. J’ai aussi insufflé le nom de votre école les « Corylis » entre 1995 et 1997. Enfin, j’ai été correspondant local pour le journal du Haut-Anjou pendant plusieurs années.

En quelle année a été créé Coudray et par qui ?

Ça remonte à loin, certainement d’origine romaine en 765. La commune a eu plusieurs noms avant de devenir Coudray. Ce que je sais, c’est que depuis 1838, une route relie Coudray à Daon, ce qui a permis à la commune de sortir de l’anonymat. Cette route, qui reliait de clocher à clocher les deux communes, facilitait le transfert à pied des armées.

Quels sont les événements importants que vous avez vécus à Coudray ?

Dans les moments que j’ai vécus à Coudray, il y a eu mon arrivée, mon mariage, ma famille où j’ ai vu grandir mes enfants. Puis il y a eu l’aménagement des rues, des chemins. Avant, les chemins étaient de pierres ou de terre battue. Mais il y a aussi eu la foudre qui a frappé le coq en zinc sur l’église en 2022.

Quelles connaissances sur la seconde guerre avez-vous ? Y avez-vous participé ?

Non. Je n’étais qu’un gamin, je n’ai pas participé à la première, ni à la seconde guerre Mondiale. Je prêtais oreille à ceux qui aimaient raconter à Coudray lors de la libération. Il faut savoir que durant la Grande Guerre, la grand-mère de ma femme est restée chez elle à Coudray malgré l’ordre de partir du village. Ce sont des troupes américaines qui ont sauvé le village dont Alvin Berg, 19 ans. Ils ont été averti par deux Coudréens pour aider les villageois contre les troupes allemandes qui arrivaient. Alvin a été tué aux portes de Coudray en venant nous aider. Moi ce que j’ai fait, c’est un article pour le Haut-Anjou pour rappeler cette histoire incroyable et évoquer la commémoration, qui a eu lieu durant l’été 2023. Une pierre témoigne de cette histoire à l’entrée de Coudray.

Savez-vous comment était l’école de Coudray autrefois ?

Autrefois, il y avait 2 écoles, jusqu’en 1965, une publique pour les garçons et une école privée où il n’y avait que 4 filles. C’est depuis 1905 où il y a eu la loi de séparation de l’église et de l’état qu’une école publique a été fondée à Coudray . Puis, le bâtiment des maternelles ainsi qu’une bibliothèque, une garderie et un restaurant scolaire ont été construits. Les classes des écoliers ont beaucoup bougé dans le village au cours des années.

Appréciez-vous les JO et quel sport pratiquez-vous ou pratiquiez-vous ?

Je regarde le soir le foot à la télé, je fais du foot de canapé ! Je pratique la randonnée, avant je faisais entre 20 et 50 km de marche pour trouver des chemins pour l’association le « mille pattes » et les pratiquer après. Oui, je vais regarder les Jeux olympiques et paralympiques bien sûr ! J’aime l’athlétisme. Je trouve épatant la course ou même le football aux Jeux paralympiques. Je dis même bravo à ceux qui le pratiquent !

Les élèves de CM2, école les Corylis de Coudray

Vaiges, le monde du sport

Vaiges est une commune sportive qui est plutôt bien équipée. Dans le cadre de notre participation au projet départemental « À vélo vers les Jeux », nous avons voulu savoir si notre commune était sportive. Pour commencer, nous avons demandé l’avis à 6 sportifs vaigeois.

D’anciens élèves ont répondu à nos questions comme Adam Bellier qui a terminé 57ème au championnat national de sa catégorie de cyclo-cross ou les frères Garnier (membres d’une nouvelle équipe futsal). Mais aussi Jérôme Adam, ancien parent d’élève, capable de faire des performances incroyables (il peut courir 170 kms sans s’arrêter) ou Willy Huchedé vaigeois de naissance (speaker du Stade Lavallois) et enfin Michel Durand référent sports de la municipalité. Ils sont tous d’accord pour qualifier notre commune comme très sportive :

  • 325 licenciés pour 1 160 habitants
  • 16 136 m² de superficie d’infrastructures sportive
  • Une salle polyvalente, deux terrains de football, un City stade, un boulodrome de 40 terrains et bientôt un skatepark et un terrain synthétique de foot à 5
  • 7 associations sportives (football, gymnastique, mölkky, badminton, ping-pong, danse et BMX)

Vaiges a également une grande particularité. Le village possède un coin paisible où l’on peut retrouver un parc avec de nombreuses structures pour les enfants, un enclos à moutons, un plan d’eau et une aire de repos.

On trouve également à Vaiges tous les commerces utiles tels que la pharmacie, la bar-tabac PMU, un charcutier traiteur, la boulangerie, un distributeur à pizzas, un Carrefour Market, un coiffeur, une esthéticienne mais aussi un cabinet vétérinaire, 4 garages, deux banques et une coopérative espaces verts/bricolage.

La chance de Vaiges est d’avoir un cabinet médical et être une belle commune où tout le monde s’entend bien. Pour que tout le monde s’amuse bien, la commune et les associations organisent des animations comme le tournoi familial de football, une course de caisse à savon, un tournoi de Mölkky et un autre de pétanque.

Le 3 juin, nous accueillerons les élèves de Saint-Christophe-du-Luat qui arriveront à vélo. Puis à notre tour, le lendemain, nous prendrons la direction du Bignon-du-Maine.

Les élèves de CM de l’école Eugène Hairy de Vaiges

Les supers cyclistes de Bazougers

Bienvenue à Bazougers ! Notre commune possède plein de belles choses et endroits à découvrir et en plus, cette année, nous allons nous rendre à vélo jusqu’au Bignon-du-Maine pour une super journée sur les Jeux olympiques de Paris 2024.

Avant de vous expliquer tout ça, connaissez-vous bien la commune de Bazougers ? Si ce n’est pas le cas, alors on va vous donner plein de bonnes raisons de vous faire apprécier notre commune et de vous y rendre pour venir nous rendre une visite.

D’un point de vue sportif, notre commune est maintenant équipée d’une salle de sports toute récente où du futsal et autres sports de raquettes y sont pratiqués. Si vous êtes face à la salle, alors juste derrière vous, vous verrez notre école en plus ! Il existe 6 terrains de pétanque pour les adeptes avec un plan d’eau juste à côté, un City stade, un terrain de tennis et deux terrains de football. Vous voyez qu’on est des grands sportifs à Bazougers !

Mais tout cela donne faim donc au choix avec une boulangerie dans le bourg, un Coccimarket ou un bar-tabac restaurant. Pour terminer, rien de tel que de se refaire une beauté au salon de coiffure, aller bouquiner à la bibliothèque et s’il y a un problème sur la voiture, le garage vous accueillera avec grand plaisir.

D’un point de vue culturel et historique, Bazougers possède aussi deux manoirs et un menhir datant de l’époque de nos grands parents (mdr !!!!!!!!!!).

Bon maintenant que l’on vous a donné envie de nous rendre une petite visite dans notre commune, il est temps de vous expliquer notre super projet vélo. En effet, vous savez tous qu’avec les J.O. de Paris 2024, le département de la Mayenne organise plein de manifestations autour de ce magnifique évènement. Comme on avait très envie d’y participer, les conseillers pédagogiques EPS ont monté l’opération « À vélo vers les Jeux » pour que de nombreuses écoles se déplacent pour se retrouver le temps d’une journée.
Au programme : beaucoup de vélo bien sûr, donc on va avoir mal aux jambes, un bon pique nique le midi pour reprendre des forces et enfin, des ateliers l’après midi autour des J.O. avant de revenir à l’école.

Notre maitresse Mme Houdayer a tout de suite adhéré à ce projet et maintenant c’est avec Mr Guinoiseau que nous poursuivons notre périple. Voilà pourquoi depuis mi-mars nous nous entrainons à maîtriser notre monture sur la cour de notre école et surtout à respecter les panneaux de signalisation et apprendre les règles de sécurité. Nous allons partir à 21 élèves accompagnés de plusieurs adultes afin d’assurer notre sécurité et tout au long du parcours, on nous a dit qu’il y aurait des surprises mais on ne sait pas lesquelles ! Vivement que l’on parte avec notre sac à dos pour le pique-nique pour cette super journée qui restera gravée dans nos mémoires.

À bientôt pour la suite de nos aventures !

Les élèves de l’école Simone Veil à Bazougers

Les élèves d’une petite école partiront à Paris pour les Jeux paralympiques 2024

Le mardi 4 juin, la classe de CM1-CM2 d’Arquenay ira en vélo au Bignon-du-Maine pour participer à l’opération « À vélo vers les Jeux ». C’est la première activité autour des Jeux olympiques en attendant les Jeux paralympiques où iront les CP-CE-CM à Paris le 5 septembre pour assister à des épreuves paralympiques de natation.

La petite commune rurale d’Arquenay de 670 habitants qui n’a pas de clubs de sport est quand même très sportive. Arquenay, labélisée Terre de Jeux 2024, propose un City stade, un terrain de pétanque, de football et de bicross ainsi qu’une voie verte qui relie Arquenay à Meslay-du-Maine. 36 élèves sur 57 élèves de l’école pratiquent un sport en club.

Le handball a une certaine place dans la commune. Emmanuel Langevin, habitant d’Arquenay, ancien joueur, entraîneur et arbitre de handball, est venu présenter son sport. « J’ai joué pendant 48 ans au handball. C’est mon père qui m’a fait découvrir ce sport. Il était président du club de handball de Meslay-du-Maine. J’ai eu une carrière d’arbitre à l’échelle nationale. » En arbitrant des matchs nationaux, Emmanuel Langevin a rencontré de grands joueurs. Certains matchs l’ont marqué plus que d’autres, par exemple Montpellier-Chartres. « Ce jour-là, j’ai sifflé une faute pour l’équipe de Montpellier et les 10 000 supporters de cette équipe ont chanté une chanson désagréable contre moi. » Avec l’arrivée des Jeux olympiques, Emmanuel Langevin donne son pronostic pour l’équipe de France de handball : une finale France-Danemark.

Les élèves de CM1-CM2 de l’école Arq’en-ciel, école Génération 2024